À propos
À propos
Une réponse collective à un tabou persistant
#JAIFAIMJEMANGE est né à Bordeaux en 2021, après l’agression d’une jeune maman qui allaitait son bébé dans une file d’attente.
Après l’indignation, une réponse simple, joyeuse et visible s’est imposée : se réunir en famille, dans l’espace public, pour nourrir nos enfants à visage (et sein) découvert, pour en faire une image.
Ce jour-là, une photographe bordelaise, Ana Kï, lance la première photo collective. Très vite, le mouvement prend de l’ampleur.

Une mobilisation qui traverse les frontières
Ce qui n’était au départ qu’un petit rassemblement local est devenu un mouvement d’ampleur européenne :
- + de 90 villes participantes en France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Guyane, Espagne, Italie...
- + de 150 photographes professionnels mobilisés chaque année
- + de 1500 familles photographiées en simultané
- Des retombées dans la presse nationale, des partages viraux, des expositions
L’objectif reste le même depuis le premier jour :
normaliser l’allaitement dans l’espace public et plus largement défendre le droit de nourrir son enfant comme on veut/peut, sans pression ni jugement.

Les photographes, cœur battant du mouvement
Rien de tout cela ne serait possible sans eux.
Chaque année, plus d’une centaine de photographes professionnels, partout en Europe, donnent bénévolement de leur temps, de leur énergie, de leur talent, pour organiser les photos #JFJM dans leur ville.
Ils gèrent les inscriptions, trouvent un lieu, coordonnent les familles, créent une délicieuse ambiance et livrent des images fortes, lumineuses et pleines de sens !
Leur engagement est total. Généreux. Humain.
Et chaque année, ils sont de plus en plus nombreux à répondre présent.
Et maintenant ?
#JAIFAIMJEMANGE continue de grandir, sans perdre son essence :
célébrer ce geste vital et naturel qu’est de nourrir son enfant, peu importe la manière.
L’énergie reste artisanale et l'ambiance familiale, mais le message se propage, les images circulent, et la parole se libère.
Sein, biberon, tire-lait, cuillère : tout est bienvenu.
Chez #JFJM, pas de hiérarchie, pas d’injonction, pas de honte.
Parce que tant que certains regards dérangeront, tant que des mères se feront virer d’un banc ou d’un resto, on continuera à se montrer. Ensemble.


Et maintenant ?
#JAIFAIMJEMANGE continue de grandir, sans perdre son essence :
célébrer ce geste vital et naturel qu’est de nourrir son enfant, peu importe la manière.
L’énergie reste artisanale et l'ambiance familiale, mais le message se propage, les images circulent, et la parole se libère.
Sein, biberon, tire-lait, cuillère : tout est bienvenu.
Chez #JFJM, pas de hiérarchie, pas d’injonction, pas de honte.
Parce que tant que certains regards dérangeront, tant que des mères se feront virer d’un banc ou d’un resto, on continuera à se montrer. Ensemble.
ANA KÏ, FONDATRICE DE
#JAIFAIMJEMANGE
Photographe spécialisée en famille et maternité, Ana Kï, maman de 3 enfants, vit et travaille à Bordeaux.
Elle crée #JAIFAIMJEMANGE en 2021, après un fait divers qui la révolte. Très vite, son idée résonne : donner à voir l’allaitement dans l’espace public, au lieu de débattre.
Fondamentalement attachée à ce que les corps, surtout ceux des mères, puissent exister pleinement au regard du monde, elle pense ce projet comme une œuvre collective et joyeuse.
Depuis 2021, elle coordonne bénévolement chaque édition du mouvement : sélection et accompagnement des photographes, suivi des inscriptions familles, communication nationale, création de contenus, logistique, juridique…
Cet engagement est une extension naturelle de son travail photographique. Son regard célèbre autant la femme que la mère. Un travail qu’elle qualifie de materniste : une photographie qui place la maternité au centre, sans la réduire, ni l’édulcorer ; comme une expérience charnelle, politique et profondément esthétique.
ANA KÏ, FONDATRICE DE
#JAIFAIM
JEMANGE
Photographe spécialisée en famille et maternité, Ana Kï, maman de 3 enfants, vit et travaille à Bordeaux.
Elle crée #JAIFAIMJEMANGE en 2021, après un fait divers qui la révolte. Très vite, son idée résonne : donner à voir l’allaitement dans l’espace public, au lieu de débattre.
Fondamentalement attachée à ce que les corps, surtout ceux des mères, puissent exister pleinement au regard du monde, elle pense ce projet comme une œuvre collective et joyeuse.
Depuis 2021, elle coordonne bénévolement chaque édition du mouvement : sélection et accompagnement des photographes, suivi des inscriptions familles, communication nationale, création de contenus, logistique, juridique…
Cet engagement est une extension naturelle de son travail photographique. Son regard célèbre autant la femme que la mère. Un travail qu’elle qualifie de materniste : une photographie qui place la maternité au centre, sans la réduire, ni l’édulcorer ; comme une expérience charnelle, politique et profondément esthétique.